Je vous retrouve aujourd’hui pour ce nouvel épisode de mes petits coups de projecteur du mois après quelque temps sans avoir publié d’article. Comme je n’achète pas beaucoup, comme j’ai désormais des routines qui me vont bien pour pas mal de choses et des recettes satisfaisantes pour mes produits maison, j’entre dans une période où j’ai un peu moins de nouveautés à vous présenter.
Ca ne m’empêche pas d’être toujours là, de répondre à vos commentaires, de partager mes lectures et remarques sur les réseaux sociaux, d’être à l’affût de toute information qui me paraît avoir de l’intérêt pour vous lecteurs.
En attendant, voici mes quelques découvertes et plaisirs de ces dernières semaines. Aujourd’hui, je vous parle shampoing, musique, jardinage et jeux. Eh oui, il y a des thèmes récurrents dans ma vie.
Le shampoing tonifiant de Holi Cosmétiques Naturels
Maintenant que j’ai examiné en long et en large les possibilités de tensioactifs que l’on peut utiliser dans un shampoing (l’ingrédient qui lave et fait mousser), je suis devenue extrêmement exigeante quand je choisis un shampoing du commerce. En effet, j’exige qu’il soit au moins aussi clean pour mon corps et pour mon environnement que si je le fabriquais maison.
Or, quand j’ai entrepris d’examiner la composition de tous les shampoings liquides en vente sur la boutique de la Slow Cosmétique, qui est sensée être une mention extrêmement exigeante tant sur le point de l’écologie que sur celui de la santé, j’ai découvert qu’il n’existait pratiquement aucun shampoing répondant à mes critères. En effet, la plupart contiennent un tensioactif appelé la cocamidopropyl bétaïne, un ingrédient largement utilisé en bio pour remplacer les produits sulfatés, mais qui n’est pas sans controverses, tant pour la santé que pour l’environnement : allergène, potentiellement cancérigène et très polluant dans sa fabrication (voir ici pour en savoir plus). Certains shampoings chez Slow Cosmétique contiennent même des sulfates ! Comme quoi il n’est nulle part où l’on puisse acheter les yeux fermés.
Mais j’ai fini par dénicher la marque Holi Cosmétiques, dont je vous avais déjà parlé dans mon article sur les poudres lavantes, puisque cette marque en propose à la vente. (lavantes, la vente, quelle superbe figure de style !)
Les shampoings Holi, de même que leurs après-shampoings, ne contiennent comme tensioactif que du decyl glucoside et du coco glucoside, qui font partie des plus sains et recommandables du marché (ce sont ceux que j’utilise dans mes shampoings maison). A part ça, ils contiennent des huiles végétales, des huiles essentielles, des extraits végétaux, de la glycérine et un émulsifiant végétal. Absolument rien à dire.
J’ai acheté le shampoing tonifiant, qui me semblait le plus correspondant à mes besoins capillaires.
Rien à dire sur ce shampoing : la texture est agréable, il mousse très convenablement sur mes cheveux, son odeur, mélange de citron et d’ylang-ylang est tout à fait agréable.
Après la douche, mes cheveux sont doux, brillants, faciles à démêler sans utilisation d’un quelconque après-shampoing, bref, j’en suis pleinement satisfaite.
Son seul petit bémol reste son prix, 18,50€ les 200 ml, mais ce sont les prix répandus pour ce type de produits sur la boutique de la Slow Cosmétique.
Vous pouvez trouver la liste des shampoings et autres produits de la marque en cliquant ici.
Je vous reparle un peu plus de ce shampoing ainsi que d’un autre produit de la marque dans ma dernière revue de quelques produits Slow Cosmétique.
Arokana, une bande de singes qui ont la banane !
Un ami qui fait une rencontre fortuite dans un train, un partage, il n’a suffi que d’un peu de hasard et de leur incroyable talent pour me rendre accroc aux chansons de ce groupe pop-rock originaire du nord de la France.
Arokana, c’est avant tout un concentré de bonne humeur, des sourires à la pelle, de la joie et des ondes lumineuses dans toutes leurs chansons. Une musique dynamique, rythmée et arrangée à la perfection, des voix superbes et qui s’accordent magnifiquement pour chanter en harmonie, musicalement, il n’y a juste rien à dire.
Mais ce sont aussi des paroliers, jouant avec les mots, basculant sans difficulté d’une critique sans détour de notre société à une chanson enthousiaste dont le but avéré est juste de nous filer la banane.
Arokana, c’est le nom d’un arbre exotique que l’on appelle aussi le désespoir des singes. Aussi on retrouve des singes un peu partout dans leurs chansons, c’est un peu leur signature !
L’album « Dans le sens du poil », que vous pouvez retrouver sur Spotify, sur SoundCloud ou sur Amazon Music, ne compte que dix chansons, mais pour moi il n’y a pas une seconde à en jeter. De l’exaltation d’une vie simple et heureuse avec « Barnabey » ou « Le roi des bananes » à la critique sociale sans tabou avec « Quinze minutes par jour » ou « Tous des singes », les quatre artistes nous font traverser tout le spectre des émotions, du rire aux larmes, de la révolte à la paix… On est saisi d’effroi face à nos peurs d’enfance avec « Terreurs nocturnes », où les solos musicaux sont carrément savoureux, on est profondément bouleversés à l’écoute de « Le chic type », qui ne peut pas laisser indifférent, on se régale de leur habileté à jouer avec les mots dans « Trois points c’est tout ».
Musicalement, le groupe ne se contente pas d’un pop-rock simple et dynamique qui à lui tout seul nous ferait acheter l’album. Il explore les styles et les genres, un peu de jazz, de musique afro ou vaguement latino, allant jusqu’à nous proposer un son pop électro unique en son genre dans « Tous des singes », sans jamais toutefois nous perdre en route car la signature Arokana est toujours là.
Je vous laisse découvrir « Il y a des choses », une chanson de l’album alliant un texte profond et poétique et un arrangement musical et vocal particulièrement réussi.
Un petit tour dans mon jardin
Bon, je vous le dis sans détour, je suis une quiche en jardinage. Je n’ai pas, mais alors pas du tout la main verte. Tout ce que je plante crève, ou presque.
Avec le printemps bien installé maintenant, ce petit paragraphe est juste destiné à vous partager le plaisir que j’ai malgré tout à tenter de m’occuper de mon petit bout de jardin. Mes arbres et mes plantes, je leur parle, leur donne des noms, je les cajole et si elles meurent, ce n’est pas en tout cas par manque d’amour.
Vu que je galère à faire survivre une quelconque flore autour de ma maison, le climat de Montpellier en été n’étant pas fait pour m’aider, j’ai décidé de m’occuper principalement, à part mon carré de plantes aromatiques qui globalement, ne s’en tire pas trop mal, de végétaux qui supportent bien la sécheresse.
A commencer par les palmiers nains, Palmito et Palmita. Eux, ils étaient déjà là à mon arrivée et globalement, ils supportent tout. En fin d’année on coupe une ou deux palmes qui ont un peu jauni et pouf, ça repart comme en 40.
Ensuite, j’ai découvert le dracéna. Il existe plusieurs variétés de cette plante, souvent utilisée en intérieur, mais en général elle aime la chaleur et l’exposition au soleil, ce qui m’arrange bien vu ma situation géographique ! C’est une plante très décorative, avec de longues feuilles d’un vert sombre teinté de rouge. Elle peut grandir jusqu’à trois mètres de hauteur et fera alors un peu penser à un palmier, avec un long tronc nu et ses grandes feuilles s’épanouissant à l’horizontale.
Un autre intérêt de ces plantes c’est qu’elles ne perdent pratiquement pas leurs feuilles, ce qui est bien agréable pour la propreté de notre petite piscine qui n’est pas bien loin. Avant nous avions des bambous et c’était un festival de feuilles toute l’année, monsieur Flo a donc prononcé leur arrêt de mort.
Mon dracéna, Dradra, est encore tout jeune, du coup il ne fait pas grande impression sur la photo, mais d’ici quelques années ça sera autre chose ! Du coup pour l’instant je l’ai encadrée pour ne pas qu’elle se sente seule par deux dipladenia, eux aussi tous bébés pour l’instant, du coup ils ne paient pas encore de mine. Ces plantes-là sont plutôt des plantes en pot, aux feuilles vernissées et offrant de très jolies fleurs rouges, roses ou blanches. J’adore les dipladenia parce qu’en plus d’être jolis, ils aiment beaucoup la sécheresse, comme par hasard. Du coup, ça, j’arrive à maintenir en vie… J’en ai mis devant ma maison dans des suspensions et derrière près de Dradra, ils iront ailleurs quand elle grandira et prendra plus de place.
Enfin, j’ai réalisé un rêve que j’avais depuis longtemps, depuis mon voyage au Mexique en classe de quatrième je crois bien : je me suis offert un cactus. Un vrai, colonnaire avec des épines longues et acérées. Il fait 50 centimètres pour l’instant, mais il est voué à devenir au moins deux fois plus grand. Dans le genre amateur de sécheresse, il m’a semblé que c’était un bon candidat. Nous l’avons baptisé Gonzalo et j’en suis folle.
Certains se demanderont peut-être quel est l’intérêt pour une non-voyante comme moi de s’enticher d’une plante si hostile à être touchée. Eh bien justement je crois que ça fait partie du plaisir. C’est un peu philosophique, en fait. Si je veux savoir comment va Gonzalo, c’est toute une approche, toute une gymnastique, tout un apprivoisement que j’ai mis en place au fil du temps pour ne pas me blesser, apprendre à le connaître pour pouvoir le caresser sans risque. Et ça me plaît !
Toutilix, un jeu aux mille règles adapté à tous
Il y a peu, l’association AccessiJeux, dont je vous avais déjà parlé au sujet du jeu de société Citadelle dans un précédent article, m’a proposé de tester leur adaptation d’un autre jeu, Toutilix.
Toutilix, c’est un jeu de lettres utilisant des cartes. L’originalité de ce jeu tient au fait qu’avec un simple jeu de 100 cartes, représentant des lettres et quelques autres symboles, on nous propose pas moins de 40 règles différentes pour des jeux très variés : purs jeux de lettres, de mots, de hasard, de stratégie, simples, complexes… Il y en a pour tous les goûts : de la règle où à partir de lettres il faut compléter une phrase en racontant une histoire pour les artistes à celle où il faut trouver des mots pour gagner des points pour les amateurs de réflexion et de stratégie, tout le monde peut y trouver son compte, des littéraires aux scientifiques, des enfants aux adultes.
Les esprits les plus imaginatifs pourront même inventer de nouvelles règles si ça leur chante !
AccessiJeux, c’est une association qui a pour objectif de rendre des jeux de société accessibles aux mal et non-voyants. En s’attaquant à l’adaptation de Toutilix, leur louable but était de rendre le jeu utilisable à tous, quelle que soit la situation : enfants, personnes âgées, voyants, malvoyants, aveugles, maîtrisant ou non le braille, il fallait que tout le monde y trouve son compte, l’objectif étant que tout le monde, porteur ou non de handicap, puisse jouer ensemble sans distinction.
Pour ce faire, plusieurs modifications ont été apportées au jeu initial : cartes plus grandes, lettres en braille, en gros caractères et en relief, angle tronqué sur les cartes pour plus vite repérer leur sens…
Notre avis
J’ai testé le jeu en famille, en compagnie de non-voyants et de voyants, uniquement entre adultes.
Ce qu’on a aimé
On a adoré le principe de ce jeu de façon générale. Avec une seule boîte, on a pu jouer chaque jour à un jeu très différent, sans aucun rapport avec celui de la veille. La règle Bazardelix, par exemple, est une adaptation du Barbu. On n’utilise plus les cartes comme des lettres, mais simplement comme des figures pour remplacer un jeu de 52 cartes. J’ai beaucoup aimé l’idée.
Notre coup de cœur va à la règle Paflemix, dans laquelle les joueurs doivent poser une lettre et énoncer un mot commençant par cette lettre dans le but de construire des phrases logiques racontant une histoire.
Lorsque l’un des joueurs a réussi à poser toutes ses cartes, il doit de mémoire parvenir à restituer toute l’histoire et remporte autant de cartes qu’il a réussi à retrouver de mots. Ce jeu à été pour nous à l’origine de mémorables fous rires face à l’absurdité ou au génie, c’est subjectif, de certaines phrases ainsi inventées.
De façon générale on a apprécié la flexibilité qu’offrait ce jeu. Il nous a par exemple été très facile d’adapter un peu la règle du fameux Paflemix, ce jeu étant au départ un jeu de rapidité et les voyants étant un peu favorisés car ils ont plus vite une vue d’ensemble de leur main. Nous avons ajouté une petite close à la règle permettant à chacun de se retrouver à égalité et tout le monde s’est régalé.
Je n’imagine que trop bien tous les jeux que l’on pourrait inventer ou transposer en plus des 40 règles déjà existantes. Je pense par exemple à l’un de mes jeux de cartes favori, le jeu d’Eleusis, dans lequel un dieu imagine une règle logique pour une suite de cartes et les autres joueurs doivent la deviner. Toutilix offrirait une version renouvelée et drôlement intéressante de ce jeu.
Ce qu’on a moins aimé
Toutilix a été pensé pour être adapté à tout le monde, enfants, malvoyants, non-voyants et malheureusement, les adaptations qui ont été imaginées pour convenir à tous ces cas de figure ne nous ont pas toujours paru très pertinentes et ont parfois rendu l’expérience de jeu moins agréable.
- La règle du jeu sur CD audio :
Bien que pensée pour ceux qui ne lisent pas le braille et n’utilisent pas l’informatique, c’est un gros point négatif pour tous les autres. En effet, pour rechercher un passage en particulier, la lire en diagonale juste pour vérifier ou y jeter un coup d’œil rapide, c’est juste un calvaire. Sans parler du fait qu’on n’a pas toujours un lecteur CD à disposition. Il serait intéressant qu’AccessiJeux mette une version texte accessible en ligne sur leur site pour que l’on puisse y avoir accès facilement même depuis un mobile. Pour ceux qui voient, il y a une version papier dans la boîte. - La taille des cartes :
Les cartes sont plus grandes qu’un format standard de carte à jouer. La raison en est la place que prennent les lettres en gros caractères pensées pour les malvoyants. Cependant, la prise en main en est rendue beaucoup moins pratique ; dès que l’on a plus de quatre ou cinq cartes et qu’on veut les tenir en éventail, cela devient très difficile, en particulier si on doit les parcourir avec les doigts pour lire en braille ou en relief. C’est pour moi un gros point noir dans l’ergonomie du jeu. De plus, j’ai déjà eu en ma possession des jeux de cartes en gros caractères qui rentraient parfaitement sur un format standard de cartes et que j’étais capable de lire (avec une vision de 1/40) et je pense que cela aurait été tout à fait possible pour Toutilix. Je trouve donc cela dommage. - La taille des lettres en braille :
L’écriture braille est constituée de symboles faits de points et ayant une taille standardisée internationalement. La taille d’un caractère est prévue pour pouvoir être lu sous la pulpe d’un seul doigt sans avoir besoin de bouger le doigt, ce qui rend la lecture fluide et rapide. Si on augmente la taille d’un caractère en écartant les points ou en les grossissant, ce qui a été fait sur Toutilix Access, la lecture devient bien plus lente puisqu’en posant le doigt sur la lettre, on n’en a plus une vue d’ensemble. Le choix de gros caractères braille, en plus de n’avoir pas vraiment d’intérêt, rend l’expérience de jeu beaucoup moins fluide et efficace.
Malgré ces quelques points qui seraient à améliorer, cette adaptation est une très belle initiative que j’avais à cœur d’encourager.
Vous pouvez acheter Toutilix Access sur le site d’AccessiJeux au prix de 39€.
Confrontation Saga – Horizon
Et si on sortait un peu de la dictature de l’image ? Et si on remplaçait les graphismes par des textes, les cinématiques par des scènes épiques imaginaires ?
C’est le défi que nous propose le jeu Confrontation Saga, un jeu narratif en ligne gratuit dans l’univers des arts martiaux.
A notre époque où les graphismes sont tellement évolués qu’il paraît inconcevable de jouer sur son ordinateur sans la meilleure des cartes graphiques, j’ai eu envie de saluer le projet de Mehdi, un créateur génial qui a osé proposer un jeu où tout se passe… avec seulement du texte et de l’imagination ! De quoi remettre à égalité voyants et non-voyants et revenir à l’essentiel : le plaisir de l’aventure et de l’imaginaire.
La présentation de l’auteur
Incarnez un ou une jeune disciple Des arts martiaux dans un monde fantastique haut en couleurs, et façonnez pas à pas votre personnage dans cette aventure narrative. Parviendrez-vous à empêcher une guerre civile en remportant le tournoi d’arts martiaux ?
Attirez l’attention de l’un des quatre maîtres lors de la rencontre d’exhibition junior, découvrez l’amitié auprès des autres disciples durant quatre années d’entraînement, affrontez des créatures et adversaires aux pouvoirs surnaturels dans des combats étonnants, rencontrez des personnages sympathiques ou hostiles tels que des hommes-tigres et gens du peuple corbeau.
Participez également à des mini-jeux, soignez votre réputation ou bien choisissez de n’en faire qu’à votre tête… Enfin, collectez des objets pour vous aider en combat, et tentez au bout du chemin de décrocher le titre de champion ou championne d’arts martiaux junior de l’île.
Épurée de sons et d’images, propulsez l’aventure avec toute la force de votre imaginaire.
Mon avis
Peu friande de l’univers des arts martiaux, peu attirée par les jeux narratifs à choix multiples, c’est avec une certaine réticence que je me suis lancée dans le test de Confrontation Saga.
Et pourtant… Au fur et à mesure de l’aventure, j’ai découvert que je m’y laissais totalement entraîner, que je devenais exaltée à chaque nouveau combat, qu’il m’apparaissait brusquement indispensable de rédiger une description du look de mon héroïne alors qu’il n’y avait que moi pour la lire… Et quand j’ai fini ma première partie, trop curieuse de voir comment on pouvait changer les choses en jouant autrement, trop impatiente de savoir s’il existait d’autres fins à l’histoire, d’autres techniques de combat, j’ai créé un nouveau personnage et j’ai recommencé l’aventure !
J’ai beaucoup aimé les personnages hauts en couleur, auxquels on s’attache comme s’ils existaient vraiment. J’ai aimé aussi constater que même avec une répartition très différente de mes statistiques et un style de combat très différent, je pouvais m’en sortir.
J’ai beaucoup apprécié l’impression qu’il y avait vraiment du choix dans les actions, l’impression de ne pas toujours faire la même chose, de découvrir des lieux, des petites aventures différentes. Il y a plusieurs fins aussi et c’est amusant de tenter de les découvrir.
J’apprécie particulièrement les petites références à de nombreux univers glissées un peu partout, notamment dans les différents personnages, l’humour qui transparaît à moult endroits dans le jeu.
Si on termine le jeu, on a même droit à quelques petits bonus qui permettent de recommencer une partie avec de petites nouveautés bien sympathiques, mais je n’en dirai pas plus pour ne rien spoiler !
La durée d’une partie est relativement longue, six à sept heures sans interruption, ce qui vous garantit de pouvoir jouer pendant un certain temps avant d’arriver à la fin si vous jouez un peu chaque jour. L’intérêt du jeu n’est donc pas trop rapidement épuisé.
En résumé, vous n’allez peut-être pas vous éclater avec des graphismes de fou, des sons et une musique à tomber et un gameplay complexe demandant habileté et réactivité, mais vous allez sans aucun doute découvrir une expérience de jeu que vous n’avez jamais eue et je vous garantis que vous passerez un excellent moment.
Le premier opus de ce jeu s’appelle donc Confrontation Saga Horizon et vous pouvez y jouer tout à fait gratuitement avec rien d’autre qu’un navigateur web en cliquant sur ce lien ; en espérant qu’une suite arrivera très bientôt !